Observer les vides pourrait permettre d'expliquer la matière noire. (ps) Les les vides de l'univers pourraient aider à expliquer pourquoi il se désagrège (ps). Le nombre et la taille des vides (ps) cosmique pourraient (pv) expliquer (pv) la l'énergie noire mystérieuse qui est (pv) fait en sorte que l'univers s'étend à une vitesse toujours plus grande. (ps) À la fin des années 1990, les astronomes se sont rendus compte que l'expansion de l'univers s'accélérait et (ps) était due à (pv) la matière noire de l'espace-temps. (pv) Mais nous en savons peu sur cette (pv) cette énergie noire. Chaque unité d'espace-temps con en contient un peu mais si (pv) la densité de ces énergies change avec le temps cela (pv) pourrait impliquer différents scénarios pour (pv) notre univers. (ps) si la densité est constante (ps), comme les (pv) observations actuelles le montrent, (ps) alors l'univers s'étendrait (pv) serait toujours (pv) en pleine expansion (ps). Mais si la densité change (pv) alors nous dirigerons vers une fin plus dramatique tel qu'une (pv) qu'un grand effondrement de l'univers. (ps) Une manière de comprendre si les changements de cette matière noire dans le temps (pv) une façon de comprendre si (pv) les changements (pv) si la matière noire change avec le temps est d'observer ses effets(pv) à une (pv) sur une plus grande sur une structure à grande échelle telle que l'univers (pv). Quelques instants après le Big Bang des fluctuations (pv) sur le (pv) l'espace-temps ont fait en sorte que certaines régions de l'univers (pv) avaient beaucoup plus de matière que d'autres (pv). Au fur et à mesure que l'univers s'est (pv) étendu les régions plus denses ont évolué (pv) pour devenir des (pv) des amas de galaxies et les zones moins denses sont devenues des vides (ps) des régions où (pv) des régions de l'espace-temps où (pv) se trouvent très peu (pv) voire pas du tout de matière (ps) (pv) et qui peuvent s'étendre sur (pv)0 millions à 150 millions d'années-lumière (ps) (pv) Alors que (pv) la plupart des efforts pour déchiffrer (pv) la matière noire (pv) comprend (pv) des études sur (pv) son effet sur les galaxies, (ps) Alice Pisani et ses collègues dans à l'Institut d'Astrophysique de Paris ont décidé de (pv) de voir si l'énergie noire pouvait influencer le nombre de vides dans l'univers. (ps) (pv) Un membre de l'équipe (ps) Benjamin Wandelt dit que (pv) les vides font partie intégrante de la distribution de la matière dans l'univers (ps) il semblerait que (pv) il y eut une époque lors de l'évolution de l'univers lors de laquelle (pv) les effets de (pv) la matière noire ont pris effet et ont arrêté la formation de struc de nouvelles structures à grande échelle que ce soit des vides ou des (pv) réseaux de galaxies. (ps) Les propriétés (pv) de l'énergie noire (pv) ont influencé le moment où cela s'est produit et (ps) donc (ps) la distribution de ces structures. (ps) (pv) Pisani et ses collègues ont (pv) pensé à trois scénarios (ps) qui impli qui peuvent tous qui pourraient tous expliquer (pv) le taux (pv) la vitesse de l'expansion de l'univers observée aujourd'hui. (ps) L'un de ces scénarios explique que l'énergie noire est une constante cosmologique. (ps) Les autres scénarios (pv) dans les autres scénarios cette énergie change avec le temps. (ps) (pv) L'un de ces (pv) de ces deux scénarios explique que l'énergie noire a permis l'accélération de l'extension de l'univers plus tard mais beaucoup plus rapidement que la constante cosmologique l'aurait fait (ps) et dans le dernier scénario (ps) cette expansion s'est produite plus tôt mais de façon plus lente. Selon Wandlet (ps) je cite (ps) « En fonction (pv) de (pv) du moment exact lors duquel l'univers a commencé à accélérer nous rencontrons plus ou moins de vides de différentes tailles » (ps) fin de citation. (ps) (pv) L'analyse de son équi de l'équipe montre que (pv) avec une accélération tardive mais plus rapide il y aurait (ps) eu plus de grands vides et moins de petits vides comparé à ce que la contante cosmologique aurait (pv) présenté l'oppo l'opposé la situation opposée aurait présenté (pv) la situation opposée se serait passée si l'accélération avait commencé plus tôt et avait été plus lente.