10.34934/DVN/UCP3R0Pahaut, ClaireClairePahautAGRDames de Ravensbrück, AGR - ERMSocial Sciences and Digital Humanities Archive – SODHA2022Arts and HumanitiesSocial SciencesSeconde Guerre mondialeDéportationExterminationDroits humainsHistoryConflict, security and peacePahaut, ClaireClairePahautAGRDe Prins, GertGertDe PrinsAGRClaire PahautClairePahautAGR2021-09-232021-09-232022-12-142008/2021Administrative records3.0<a rel="license" href="http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/"><img alt="Creative Commons License" style="border-width:0" src="https://i.creativecommons.org/l/by/4.0/88x31.png" /></a><br />This work is licensed under a <a rel="license" href="http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/">Creative Commons Attribution 4.0 International License</a> (CC-BY).Camp nazi de Ravensbrück, 1940-1945 : Le parcours concentrationnaire des Dames déportées de Belgique et des Dames entrées en Belgique après la guerre. Ce jeu de données contient un aperçu de toutes les données biographiques compilées à partir des dossiers individuels.<br><br> Le listing principal de ce projet est le <i>Fichier Ravensbrück</i> du Service des Victimes de Guerre, travail de Berthe Bernard, alias Nina Erauw. Il est composé de fiches individuelles des déportées, classées par ordre alphabétique, ayant ou non le statut de PP (Prisonnières Politiques), de <i>NN</i> (<i>Nacht und Nebel</i>), de travailleuses volontaires (TV) ou obligatoires (TO), d’otages, de déportées raciales, juives ou tziganes. Chaque fiche reprend les données de base des dossiers personnels et suit leur parcours concentrationnaire.<br><br> À ce fichier, s’ajoute la liste de l’Amicale belge des anciennes prisonnières politiques et ayants droit du camp de Ravensbrück. Elle reprend, par noms de jeune-fille, les résistantes et/ou celles qui sont arrêtées pour leur comportement et déportées à Ravensbrück.<br><br> Vient ensuite, le fichier <i>Anfrage Belgien</i>, réalisé par la <i>Mahn- und Gedenkstätte Ravensbrück</i>, <i>Stiftung Brandenburgische Gedenkstätten</i>, à Fürstenberg, qui me fut envoyé, à la fin de l’été 2008. Cette liste reprend les noms des déportées par ordre alphabétique, la date de naissance et le numéro matricule ; pour les dames mariées, c’est le nom d’épouse qui prévaut. De nombreuses variantes orthographiques dans l’écriture des noms propres vont jusqu’à encoder plusieurs fois la même personne.<br><br> L’identification de chacune des déportées s’est faite sur base des renseignements du Service international de Recherches (SIR) à Bad Arolsen, disponible aux Archives générales du Royaume (AGR).AGR